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Good Afternoon [Clea]
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Ezekiel Avraham
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Clea Smith
Good afternoon
Le monde avait enfin recommencé à tourner correctement; Après la grosse tempête qui avait frappé Chicago, créé des débris, des toitures détruites, et plusieurs immenses urgences à l’hôpital, tu étais bien content que tout ça soit derrière vous désormais. La panne de courant qui avait subsisté pendant plusieurs jours avait vraiment été catastrophique à l’hôpital, et dans ton domaine, tu avais dû avoir plusieurs opérations urgentes dans une pièce très faiblement éclairé. Tu avais passé, comme beaucoup de tes collègues, des journées infernales à l’hôpital, mais enfin, tu avais pu retourner te reposer, prendre soins de toi, et passer du temps seul à seul avec Maverick. Votre relation cachée depuis quelques mois continuait d’aller très bien. Tu l’aimes avec toute ton âme, et tu savais que s’était tout autant réciproque. Votre amour était immense, et tu en étais bien heureux. Aujourd’hui, après avoir eu un repos bien mérité, tu te permets de sortir cette après-midi au parc proche de chez toi; Avec ta maladie, allait te dégourdir les jambes même durant tes jours de repos ne peut qu’être bon. Malgré ta maladie, tu ne dois pas rester à rien faire. Sans trop te forcer, faire une marche au parc peut être profitable, surtout qu’il fait encore bon; bientôt le vent froid de l’automne s’installera, et après l’hiver frappera. Tu préfères profiter des quelques journées de beau soleil qui s’annonce encore un peu. Après t’être vêtu d’un léger manteau en cuir, et d’enfiler tes souliers, tu te diriges à l’extérieur. Tu rejoins le parc aisément, pour pouvoir aller t’y promener; Le soleil est doux, le vent est calme, c’est vraiment une belle journée. Il doit être environ 14h, et vu que c‘est la fin de semaine, il y a beaucoup de famille dans le parc. Tu n’avais jamais eu cette chance d’aller au parc avec ton père, quand tu étais plus jeune. Ton père ne t’y avait jamais amené; ton père n’avait jamais non plus joué avec toi il faut dire. Tu regardes les familles jouer ensemble, rire, et ça te donne une fausse expression de nostalgie, et pourtant, tu n’as jamais connu ça. Mais tu aurais souhaité.
Tes iris se baissent quand tu rencontres trois petites têtes similaires : des frères et sœurs, sans aucun doute. Tu regardes autour, intrigué. Où est leur parent? « Vous êtes perdus, les enfants? » Petits humains. Tu n’es pas très à l’aise, avec les enfants. Le manque de figure familiale, enfant, que tu avais vécu, faisait en sorte que tu avais toujours peur de reproduire les erreurs commises par ton père. Tu étais maladroit avec les enfants, un peu anxieux même. Mais heureusement, tu vois une femme arrivée vers vous; sans doute que les enfants s’étaient mis à courir, actifs comme ils étaient, et que cela avait surpris la mère. Mère que tu connaissais, tient. Clea Smith, une collègue de travail! Tu reconnais aisément les visages, et il faut dire aussi que tu as une très bonne mémoire, ça aide. « Bonjour. » lâches-tu en souriant. « On dirait bien que vos enfants ont voulu courir un peu trop vite… » lâches-tu en riant un peu, reposant tes iris sur les trois enfants de Clea; enfin tu imagines ces enfants. « Vos enfants sont adorables. » Ils sont vraiment mignons, il faut l’avouer, pour des mini-humains. Enfin… pas si mini. Le plus vieux doit avoir… 10 ans? Enfin, pour toi, c’est toujours petit. Et si innocent…
Tes iris se baissent quand tu rencontres trois petites têtes similaires : des frères et sœurs, sans aucun doute. Tu regardes autour, intrigué. Où est leur parent? « Vous êtes perdus, les enfants? » Petits humains. Tu n’es pas très à l’aise, avec les enfants. Le manque de figure familiale, enfant, que tu avais vécu, faisait en sorte que tu avais toujours peur de reproduire les erreurs commises par ton père. Tu étais maladroit avec les enfants, un peu anxieux même. Mais heureusement, tu vois une femme arrivée vers vous; sans doute que les enfants s’étaient mis à courir, actifs comme ils étaient, et que cela avait surpris la mère. Mère que tu connaissais, tient. Clea Smith, une collègue de travail! Tu reconnais aisément les visages, et il faut dire aussi que tu as une très bonne mémoire, ça aide. « Bonjour. » lâches-tu en souriant. « On dirait bien que vos enfants ont voulu courir un peu trop vite… » lâches-tu en riant un peu, reposant tes iris sur les trois enfants de Clea; enfin tu imagines ces enfants. « Vos enfants sont adorables. » Ils sont vraiment mignons, il faut l’avouer, pour des mini-humains. Enfin… pas si mini. Le plus vieux doit avoir… 10 ans? Enfin, pour toi, c’est toujours petit. Et si innocent…
Clea Smith
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Ezekiel Avraham
Good afternoon
Aujourd'hui, la température a Chicago était de nouveau un peu clémente après cette tempête de pluie qui nous était arrivé dessus il y a peu. Disons que pour nous a l'hôpital cela avait été une semaine d'enfer. C'était vraiment difficile d'avoir une seconde pour soufflé et pouvoir passé du temps avec ma famille avait été compliqué depuis un moment. Disons que Mary et moi avions été fortement occupées et avions un peu délaissé les enfants. Donc nous avions prévu aujourd'hui de ne pas du tout rentré travailler surtout que nous étions plus de garde aujourd'hui donc nous pouvions profiter des enfants et du temps ensemble à cent pour cent.
Disons que c'était vraiment génial de ne pas avoir à courir partout sans savoir où donner de la tête. Et de simplement profité du temps qui passe. Nous avions alors décidé comme il faisait sensiblement beau ce matin, au parc. Pour profiter un peu de l'air frais et de faire dépenser aux enfants leur énergie. Et comme les enfants jouaient ensemble au soccer sur le terrain du parc avec leur âge, nous les gardions a l’œil, mais d'un peu moins proche deux. Surtout qu'ils étaient assez responsables. Et que le plus vieux s'occupais de son frère plus jeune. Alors Mary et moi en profitions pour discuter pendant qu'ils ne s'amusaient pas très loin de nous. Ils jouaient avec le ballon de foot de Liam qu'il avait apporté de l’Angleterre. Alors que je discutais avec Mary, j'ai remarqué que les enfants étaient approchés par un homme dans le parc. Je me levai donc du banc où j'étais pour me rapprocher d'eux. Suivis par Mary je me redis rapidement compte que c'était l'un de nos collègues de l'hôpital qui était près de deux.
Je l'entendis leur demander s'ils étaient perdus. Ma belle-fille finie par simplement dire alors.''Sophia : nos mères sont juste à côté. Elles nous laissent jouer au foot dans le parc.'' Dit-elle avec le sourire. Elle n'avait pas peur de dire qu'elle avait deux mamans. Pour elle, c'était tout à fait normal. Puisqu'elle n'avait pas connu autre chose. Elle regarda en ma direction pour se rassurer que je n'étais pas loin. Ce qui était tout a fait près d'elle. Je finis par arriver près d'eux avec le sourire.
Puis-je reconnue le jeune homme et je finis par simplement le dire à mon collègue avec le sourire ? '' Bonjour, nous leur laissons la possibilité de jouer un peu plus loin des autres vue qu'ils sont responsables.'' Dis-je avec le sourire. J'étais heureuse d'avoir des enfants qui ne faisaient pas de bêtise et qui étaient vraiment heureux de pouvoir être leur belle-mère. J'étais vraiment fière de ma petite famille. Je finis simplement par dire a mon collègue, car je ne savais pas du tout s'il connaissait ma conjointe. ''Merci , en fait, ce sont les enfants de ma copine Mary.'' Dis-je en regardant le jeune homme en lui souriant et en présentant Mary qui venait d'arriver près de nous. Je finis par simplement lui sourire.
Disons que c'était vraiment génial de ne pas avoir à courir partout sans savoir où donner de la tête. Et de simplement profité du temps qui passe. Nous avions alors décidé comme il faisait sensiblement beau ce matin, au parc. Pour profiter un peu de l'air frais et de faire dépenser aux enfants leur énergie. Et comme les enfants jouaient ensemble au soccer sur le terrain du parc avec leur âge, nous les gardions a l’œil, mais d'un peu moins proche deux. Surtout qu'ils étaient assez responsables. Et que le plus vieux s'occupais de son frère plus jeune. Alors Mary et moi en profitions pour discuter pendant qu'ils ne s'amusaient pas très loin de nous. Ils jouaient avec le ballon de foot de Liam qu'il avait apporté de l’Angleterre. Alors que je discutais avec Mary, j'ai remarqué que les enfants étaient approchés par un homme dans le parc. Je me levai donc du banc où j'étais pour me rapprocher d'eux. Suivis par Mary je me redis rapidement compte que c'était l'un de nos collègues de l'hôpital qui était près de deux.
Je l'entendis leur demander s'ils étaient perdus. Ma belle-fille finie par simplement dire alors.''Sophia : nos mères sont juste à côté. Elles nous laissent jouer au foot dans le parc.'' Dit-elle avec le sourire. Elle n'avait pas peur de dire qu'elle avait deux mamans. Pour elle, c'était tout à fait normal. Puisqu'elle n'avait pas connu autre chose. Elle regarda en ma direction pour se rassurer que je n'étais pas loin. Ce qui était tout a fait près d'elle. Je finis par arriver près d'eux avec le sourire.
Puis-je reconnue le jeune homme et je finis par simplement le dire à mon collègue avec le sourire ? '' Bonjour, nous leur laissons la possibilité de jouer un peu plus loin des autres vue qu'ils sont responsables.'' Dis-je avec le sourire. J'étais heureuse d'avoir des enfants qui ne faisaient pas de bêtise et qui étaient vraiment heureux de pouvoir être leur belle-mère. J'étais vraiment fière de ma petite famille. Je finis simplement par dire a mon collègue, car je ne savais pas du tout s'il connaissait ma conjointe. ''Merci , en fait, ce sont les enfants de ma copine Mary.'' Dis-je en regardant le jeune homme en lui souriant et en présentant Mary qui venait d'arriver près de nous. Je finis par simplement lui sourire.
Ezekiel Avraham
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Clea Smith
Good afternoon
Tu imagines souvent que, en tant que père, tu serais bien trop protecteur; Sans doute encore une fois une récidive du fait que tu avais eu, disons le ainsi, une histoire compliqué avec tes liens familiaux. Une mère décédée jeune, un père qui n’avait pas vraiment prit la peine de te regarder, ni de t’aimer à ta juste valeur, tu avais plusieurs aspects négatifs, qui, encore à ce jour, marquer ta vie au fer chaud. En tant que figure paternel, tu pouvais très bien t’imaginer être trop protecteur de tes enfants, et être porter à imaginer souvent le pire, comme ça t’était plus d’une fois arrivé durant ton adolescence. Tu aurais, pour le moment, bien du mal de tout façon à être parent : entre ta maladie chronique, ton manque d’attention, tes problèmes encore actuels avec ton père au Centre, tes nombreux tourments, et ta relation cachée, difficile de te projeter dans une vie familiale. Et il faut dire, de tout façon, tu es très peu à l’aise avec les enfants, sans doute encore une fois dû au manque d’amour vécu durant ton enfance. Plus d’une fois, tu t’étais demandé comment aurait été ta vie, si ton père était resté avec ta mère, dès ta naissance. S’il n’avait pas fui et s’il ne s’était pas retrouvé, cinq ans plus tard, à la charge d’un enfant qu’il n’avait jamais désiré. Enfin, tout ça pour dire que tu trouves bien courageuse la jeune demoiselle, quand celle-ci t’annonce que les enfants avaient l’habitude de jouer plus loin. Quel soulagement!
« Oh je comprends donc mieux, désolé, je ne voulais pas… enfin, j’étais seulement surpris, loin de moi l’idée de vouloir m’imposer! » Toi, maladroit? Un peu, oui, tu dois avouer. Tu viens sourire aux enfants, reposant ton attention sur tes collègues de travail. Clea Smith, et Mary Crackholm, si tes souvenirs sont bons; les deux travaillent à l’hôpital avec toi. Tu ignorais qu’elles étaient ensemble! Comme quoi, le monde est petit. « Oh! Je vois! » souffles-tu en riant joyeusement, saluant avec beaucoup de respect Mary également, un large sourire aux lèvres. « Trois mini-humains à s’occuper, ça doit être une charge impressionnante, mais beaucoup d’amour à donner, j’en suis certain. » indiques-tu en souriant vivement. Deux garçons, une demoiselle. La famille doit être comblée, ça ne fait aucun doute. « Comment allez-vous? Avec la tempête que nous avons eu, nous nous sommes peu arrêté à l’hôpital. J’espère que vous prenez bien le temps de vous reposer! » Les quelques jours que vous aviez passé sans électricité à l’hôpital avait été terrible. Épuisant, surtout, et hors de contrôle. Heureusement, tout s’était bien terminé, mais tout de même, ça avait vraiment amené son lot de stresse, et de douleurs, dont ton corps se souvenait encore très bien. Il faut dire qu’avec ta maladie chronique, difficile d’oublier. Tu espères que ces journées ont été plus agréables… non, plus tranquilles pour Mary et Clea, mais tu en doutes grandement. Juste à voir le chaos que tout ça avait créé…
« Oh je comprends donc mieux, désolé, je ne voulais pas… enfin, j’étais seulement surpris, loin de moi l’idée de vouloir m’imposer! » Toi, maladroit? Un peu, oui, tu dois avouer. Tu viens sourire aux enfants, reposant ton attention sur tes collègues de travail. Clea Smith, et Mary Crackholm, si tes souvenirs sont bons; les deux travaillent à l’hôpital avec toi. Tu ignorais qu’elles étaient ensemble! Comme quoi, le monde est petit. « Oh! Je vois! » souffles-tu en riant joyeusement, saluant avec beaucoup de respect Mary également, un large sourire aux lèvres. « Trois mini-humains à s’occuper, ça doit être une charge impressionnante, mais beaucoup d’amour à donner, j’en suis certain. » indiques-tu en souriant vivement. Deux garçons, une demoiselle. La famille doit être comblée, ça ne fait aucun doute. « Comment allez-vous? Avec la tempête que nous avons eu, nous nous sommes peu arrêté à l’hôpital. J’espère que vous prenez bien le temps de vous reposer! » Les quelques jours que vous aviez passé sans électricité à l’hôpital avait été terrible. Épuisant, surtout, et hors de contrôle. Heureusement, tout s’était bien terminé, mais tout de même, ça avait vraiment amené son lot de stresse, et de douleurs, dont ton corps se souvenait encore très bien. Il faut dire qu’avec ta maladie chronique, difficile d’oublier. Tu espères que ces journées ont été plus agréables… non, plus tranquilles pour Mary et Clea, mais tu en doutes grandement. Juste à voir le chaos que tout ça avait créé…
Clea Smith
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Ezekiel Avraham
Good afternoon
J'étais heureuse aujourd'hui de pouvoir passé du temps avec les enfants et avec Mary. J'étais vraiment heureuse de pouvoir passé du temps a relaxer aussi et ne pas avoir a courir partout sans savoir si cela allait duré toute la journée ou non. J'étais quand même épuisé de tout cela. En plus de nous ajuster au time zone ici , au nouvelle façon de faire , car cela n'était pas du tout la même façon de faire en Angleterre. Disons que l'ajustement était pas encore fait pour ma par en tout cas et j'avais déjà du faire face a un événement du genre.
Les enfants jouaient un peu plus loin avec leur ballon de foot , car ils ne voulaient pas faire mal au plus jeune qui jouait près des bancs ou les mamans et nounous s'installait tous. Disons que Mary et moi avions quand même pas mal confiance en eux et nous avons aussi des enfants qui a leur âge avait besoin de moins de surveillance. Je vis que Sophia discutait avec un homme , que de loin je ne reconnaissait pas du tout. Mais que je reconnue plus je me rapprochait de lui.
''Sophia : Vous voulez jouer avec nous ?''
Sophia était du genre a vouloir impliquer tout le monde dans tout ce qu'elle faisait. Elle était la petite fille la plus gentille que je connaisse et qui voulait toujours faire plaisir aux gens autour d'elle. Peut importe comment et quand. Comme la elle voulait pas que le jeune homme se sente seule en lui offrant de venir jouer avec eux. Puis le jeune homme qui se tenait devant moi et Mary , je pouvais voir qu'il ne semblait pas tout a fait a l'aise avec les enfants. Mais je ne voulais pas lui montré que j'avais remarquer. Mais lorsqu'il parla de la charge de travail et du fait de devoir s'occuper de trois enfants devait être quelque chose de vraiment difficile a faire.
'' Ce n'est pas toujours simple , mais en ayant des enfants avec une différence d'âge de quelques années , les plus vieux peuvent aider avec les plus jeunes.''
Dis-je avec le sourire. J'adorais les enfants de Mary et en fait ils était comme les miens. Donc je ne savais pas par contre s'il me prenait comme leur mère , mais bon j'avais une bonne relation avec eux. Puis il nous demandais comment nous allions. Nous prenions présentement du temps pour nous reposer et j’espérais qu'il en face de même.
'' Disons que ce fut vraiment la folie , mais nous avons pris quelques jours pour nous reposer et passé du temps avec les enfants. Mais aussi pour nous trouver une maisons ici , car nous en avons un peu mare de vivre dans une suite a l'hôtel. Disons qu'avoir notre chez nous c'est ce qui sera le mieux pour nous.Et toi tu prend le temps de te reposé ?''
Mon accent anglais était ressortie avec les années a Londres , car c'était quand même mes origines. Et celui de Mary et des enfants étaient encore plus prononcer et faisait rapidement voir aux gens avec qui nous parlions que nous étions pas originaire d'ici.
Les enfants jouaient un peu plus loin avec leur ballon de foot , car ils ne voulaient pas faire mal au plus jeune qui jouait près des bancs ou les mamans et nounous s'installait tous. Disons que Mary et moi avions quand même pas mal confiance en eux et nous avons aussi des enfants qui a leur âge avait besoin de moins de surveillance. Je vis que Sophia discutait avec un homme , que de loin je ne reconnaissait pas du tout. Mais que je reconnue plus je me rapprochait de lui.
''Sophia : Vous voulez jouer avec nous ?''
Sophia était du genre a vouloir impliquer tout le monde dans tout ce qu'elle faisait. Elle était la petite fille la plus gentille que je connaisse et qui voulait toujours faire plaisir aux gens autour d'elle. Peut importe comment et quand. Comme la elle voulait pas que le jeune homme se sente seule en lui offrant de venir jouer avec eux. Puis le jeune homme qui se tenait devant moi et Mary , je pouvais voir qu'il ne semblait pas tout a fait a l'aise avec les enfants. Mais je ne voulais pas lui montré que j'avais remarquer. Mais lorsqu'il parla de la charge de travail et du fait de devoir s'occuper de trois enfants devait être quelque chose de vraiment difficile a faire.
'' Ce n'est pas toujours simple , mais en ayant des enfants avec une différence d'âge de quelques années , les plus vieux peuvent aider avec les plus jeunes.''
Dis-je avec le sourire. J'adorais les enfants de Mary et en fait ils était comme les miens. Donc je ne savais pas par contre s'il me prenait comme leur mère , mais bon j'avais une bonne relation avec eux. Puis il nous demandais comment nous allions. Nous prenions présentement du temps pour nous reposer et j’espérais qu'il en face de même.
'' Disons que ce fut vraiment la folie , mais nous avons pris quelques jours pour nous reposer et passé du temps avec les enfants. Mais aussi pour nous trouver une maisons ici , car nous en avons un peu mare de vivre dans une suite a l'hôtel. Disons qu'avoir notre chez nous c'est ce qui sera le mieux pour nous.Et toi tu prend le temps de te reposé ?''
Mon accent anglais était ressortie avec les années a Londres , car c'était quand même mes origines. Et celui de Mary et des enfants étaient encore plus prononcer et faisait rapidement voir aux gens avec qui nous parlions que nous étions pas originaire d'ici.
hj : Désolé du délais , mais je viens juste de fini un gros mois d'inspection professionnel et cela fait que j'étais trop stresser pour rp. Mais maintenant que tout es fini je me remet au rp a fond.